Le développement des énergies renouvelables au service du développement durable au centre de l’accord de coopération entre l’Université d’Adrar et l’Université de Pise
La région d’Adrar située au centre du Sahara algérien et particulièrement riche en palmiers, dont les déchets sont pratiquement inutilisés pour l’énergie et la transformation de la biomasse en électricité. L’accord entre l’Université d’Adrar et l’Université de Pise, signé le 25 juin 2024, vise à développer les sources d’énergie renouvelables pour promouvoir le développement durable et également , la capacité de développer des technologies innovantes.
Pour sa part, le recteur de l’Université de Pise, le professeur Ricardo Zucchi, a accueilli avec enthousiasme la nouvelle collaboration entre l’Université de Pise et l’Université d’Adrar, et s’est félicité des résultats des premières recherches présentées sur la bioénergie. Il a exprimé son désir de voir cette collaboration se développer, tant dans le domaine de l’énergie que dans d’autres domaines culturels d’intérêt mutuel, et a souligné l’importance de l’action internationale pour construire un avenir caractérisé non seulement par l’innovation, mais aussi par l’unité et la fraternité.
Dans le même contexte, le recteur de l’université d’Adrar, le professeur Benamar Mohammed El Amine, a rappelé l’histoire des relations positives entre les deux pays et que, sous la direction actuelle des deux pays, il semble y avoir plus d’opportunités et de conditions qui soutiennent et encouragent la création de plus de voies de coopération et de partenariat entre les deux pays dans divers domaines. Dans le contexte de ces conditions, le recteur a ajouté que c’est le bon moment, à son avis, pour commencer à construire des liens de partenariat et de coopération plus réalistes et fructueux entre les institutions académiques des deux pays, afin de renforcer les relations stratégiques entre l’Italie et l’Algérie.